lundi 31 janvier 2022

"I Like It"...

Fragrances envies

Peau à peau 002


Plassac (33) le 22 janvier 2022, Alain Gojosso



Ode à lit qu’au silence criant s’écrive à mots muets

Le lien ineffable de l’aimant

Qui des polarités

Magnétique de digitaliser en caresses son attirance

 

Pétale à corps d’éventer de danse palmée la flaveur

Ainsi du sensuel

Adonné à l’encens de l’essaim

Par l’ignition intangible d’une évidence à orchestrer

 

Que se roman d’encrer sous l’impératif du présent

Le désir à l’ambre de la rencontre

Des cœurs

Qui de l’être à l’être délivre au buccal leurs fragilités

 

À dire en drapés du vertige ondoyant où d’échappée

Belle

Passion délie enfin les langues

De l’interdit par cet incendie flagrant de nos poésies.

 

 

Le 31 janvier 2022,

 

Alain Gojosso




mardi 25 janvier 2022

Qu'en vers poésie...

Au roman de ma nef rose I (Diptyque – premier volet)

Hypersensible 003


Plassac (33) le 22 janvier 2022, Alain Gojosso


Par orbe en tête d’horizon à éclairer mes pas

Ambre ailes en la céleste nuit

De ce sensible

Chancelant de sens incandescents à sublimer   

 

Éperdu qu’en passion dès lors où se songe or

L’âme à tisser

Des toiles écrites à la rencontre

Se crée au delta du présent un feu éphémère

 

Filant par compas de l’arabesque où semelles

En l’air si volatile de l’enchantement

Cette ancre illusoire

Par les terres du sang qui se perd au confondu

 

Sinon qu’à balbutier par le nadir un succédané

De cette beauté

Touchée pourtant en l’azur réel

Sous l’éther infini de l’amour où en vers poésie.

 

 

Le 25 janvier 2022,

 

Alain Gojosso




samedi 22 janvier 2022

De mon silence

En transe seule

Transes 003


Blaye (33) le 29 décembre 2021, Alain Gojosso



Silence…

 

Quand de la peau emphatique se champ de cultiver par les terres sacrées ce flavescent qui, en grain myriade de tisser l’habité de frissons, se conjugue aux vertiges de l’horizon placentaire l’être par ce pluriel du singulier échevelé, à croire qu’il est un possible de peindre en ses toiles folles l’inexorable fugitif…

 

Silence…

 

Quand en l’essaim du cœur, se volcan l’éther des fusions au flambeau embrasé du sensible frémissant, où de la beauté dès lors tutoyée s’éclaire en voie d’univers la scène que, les rideaux écarlates découvrent en vers de leur velours accueillant…

 

Silence…

 

Quand en la tête fleuve le chant de ce doux ruissellement engendré et répété, fredonne fluide l’arithmétique équation de l’allant où, se lyre torrent par monts et par mots de l’onde qui des décibels de l’orchestration caressante compose alors le sentiment…

 

Silence…

 

Quand en l’orgue âme se vif vent par l’ondée moissonnée de l’orbe le souffle entrainant, du corps entier s’intime à la rime de l’air de le suivre par cette transe en danse qui courbe à l’incessant, se mélodieux en voix de clamer la poétique du mouvement à l’univers…

 

 

Silence à dire…

 

Qu’en voie d’élégance alors se vif vent de pouvoir voguer sur la vague infernale de l’impermanence, s’ébranlent les lueurs vacillantes de l’ignition à la nuée ardente de ce jeu où des pas martelés, s’essaiment ailes à voler au céleste des yeux rivés enfin en cet air qui âme âme.

S’adonne ainsi de caresser l’autre par ce poème hallucinant d’un infini présent qui, toujours à vivre ne sait que s’articuler en cette danse de l’évidence à donner, ne sait que s’exprimer au seul pur diamant d’un silence où en ma laideur et ma maladresse alors assumées, d’un possible se conjugue l’amour…

 

 

Le 22 janvier 2022,

 

 

Alain Gojosso 

jeudi 20 janvier 2022

Mime éthique

Des cohérences

Hypersensible 002

 « L’amour, comme la violence, abolit les différences » Des choses cachées depuis la fondation du monde, 1978, René Girard


Grimaud (83) le 01er juillet 2019, Alain Gojosso


Rétines par écrin de cet océan qui des sens

Sensibles

Vaguent en feu l’âme

De l’incessant accord des mouvants vivants

 

Brûle à corde de vibrations alors embrasées

La nef aux iris allant vers

De l’eau

Où se larme embrun de l’amer un désespoir

 

Sinon qu’en la mélancolie où à l’écho habité

Se manteau

De sa dépendance à conjuguer

La flamme de l’autre qu’à corps nous mirons

 

Jusqu’à nous confondre d’un indicible fil tissé

En ce même rencontré

Et clamer

De décohérence au seul quantique du silence.

 

 

 Le 20 janvier 2022,

 

Alain Gojosso 





samedi 15 janvier 2022

Courant d'allant

À nu l’âme

En sens 004


Gauriac (33) le 30 décembre 2021, Alain Gojosso



Horizon d’yeux sous embrasure d’une liberté

Qui du champ

De l’azur éclaire jusqu’en la nuit

De sa rémanence dansante un possible à dire

 

Piano de ses mots qui s’essaiment par les airs

De nous fredonner cette voie

Qu’enfant

Nous avons à corps de sang de battre en cœur

 

S’orchestre en temps de nous articuler au vers

De la rime

Qui à peau d’encens bleu s’ancre

Toujours de voguer aux souffles de l’aventure

 

Où ode à lyre s’épique l’âme de rêver d’amour

Par sincère de l’envolée lyrique

De ce musical

À jouer de composition à mon autre rencontré.

 

 

Le 15 janvier 2022,

 

Alain Gojosso 




jeudi 13 janvier 2022

En la danse des étoiles...

En nuit essaime ailes

En sens 003


Braud Et Saint-Louis (33) le 06 novembre 2021, Alain Gojosso



Fredonne silence au murmure agité des endormis

D’une mélancolie qui en nuit habitée

Sur l’ode

Rossignol à l’inconnu sa ferveur de cristal chantant

 

Qu’en bleu à l’âme du moment s’orange le vif vent

D’étreindre

Par ce présent qu’offre la beauté

Au vespéral de l’instant l’inexorable fuite du temps

 

Manteau à corps est le feutre où s’ombre de l’éther

L’encre de ses mouvants infinis…

Se mêle

Aux yeux l’onirique qui se divan par mots insidieux

 

En la fable de la peau vibrant tempo à ce quantique

De pouvoir enfin consteller en mélodie

Des étoiles

Ce songe qui marchant de sable nous essaime ailes…

 

 

Le 13 janvier 2022,

 

 

Alain Gojosso






dimanche 9 janvier 2022

S'y aile...

En seule âme or…

Ingénu 004


Pugnac (33) le 14 décembre 2021, Alain Gojosso


En nuit de lune où brûle nocturne dessein

Prose en tendre refrain

L‘être

Qui au cœur de l’éther vertige à la mesure

 

Par l’archet emporté des mots fredonnant

Ses cordes à l’onde du vocal

Chant

Où céleste abyssal à lyre le tempo répétitif

 

Et d’yeux dansant osmose l’accord en sang

De mirer

En beau ce roman du vivant

Osé des ailes aimant de l’alchimie poétique

 

Qui à fleurs d’art aux essences se fragrance

En des lys de feu passionnel

Mouvant

Où se joue d’étreindre l’air au vol de l’envie.

 

 

Le 09 janvier 2022,

 

Alain Gojosso






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