jeudi 18 avril 2024

Pour s'amuser...

Azur soir…

D’encens 011


Saint-Vincent De Paul (33) le 07 mars 2024, Alain Gojosso



Ombre luisante qu’ambre à cœur caresse

Au vespéral du songe paradoxal

Par son suave accord

Soufflant en sons d’encens ce mélodieux

Des enivrantes flaveurs

Où d’ondoyante raideur se vertige

D’essaim d’étoiles les sens à l’ode passion

 

Massif au seul de l’arborescence à tendre

Sur l’air sa symphonie ébranlante

Qui lèvres à vide

Vibrent par écrin céleste de sa résonnance

Trouvée en échos

Des corolles allant vers de coquelicots

D’éclat éphémère d’une intention à donner

 

Que s’éclot de rayonner à l’obscur le néant

Au firmament du nadir où l’être

Se vit en sang

En corps et encore par frisson de l’oxymore

Bruissant sans fin

Sinon à dire ce verbe conjuguant

Du présent qui s’œil à mirer à l’infini un fini.

 

 

Le 16 avril 2024,

 

Alain Gojosso




mercredi 10 avril 2024

Créateur d'imaginaire

Un sang d’essence

Ingénu 010


Blaye (33) le 08 mars 2024, Alain Gojosso



Quand de l’arbre qui rameaux de l’âme

Erre au vent sous l’éther nuité

Du chant à dire

Par ce silence céleste donné à entendre

 

S’aile à feux d’encens notre résonnance

Au seul vivant

Où flot des mouvants passion

Vibre à l’unisson des temps à conjuguer

 

Que diapre en son puisse enfin illuminer

L’indicible épousé à corps

Des nerfs

Qui art aux essences créent l’imaginaire

 

Éclaire d’éventail l’envolée du battement

Allant du cœur

A l’univers ainsi embrassé

Par brasier incandescent de brûler de vie.

 

  

Le 10 avril 2024,

  

Alain Gojosso




jeudi 4 avril 2024

En sens...

Plane éther onirique (à ma fille Emmanuelle)

Vivant par âme or 011


Blaye (33) le 24 janvier 2024, Alain Gojosso




Clame air sur l’arrache cœur du silence

L’orgue âme

Qui souffle du vif vent s’expire

Par ces mots à crier si nus ta souffrance

 

S’étoile à corps des battements dansant

En tendre d’une mélancolie

L’étreinte

Donnée à l’inconnu à se vivre sans échos

 

Sinon qu’en la beauté d’embrasser enfin

L’éphémère

Dessin du coquelicot alors touché

Au mime de tes pas qui se semelle à lyre

 

A dévoiler le tissu de l’univers par la mer

Où eau à peau de champs sensuels

S’écrit l’aimant songe

A croire toujours en ses rêves qui s’infini.

 


Le 04 avril 2024, 

 

Alain Gojosso




Pour s'amuser...

Azur soir… D’encens 011 Saint-Vincent De Paul (33) le 07 mars 2024, Alain Gojosso Ombre luisante qu’ambre à cœur caresse Au vespéral du so...